PORTRAIT
Florence Alibran
PARCOURS
Dès l’obtention de mon diplôme de Masseur kinésithérapeute
en 1983, ne souhaitant pas m’enfermer dans une vision
mécaniste du corps, je me suis rapidement orientée vers
des techniques de rééducation qui considèrent le corps
dans son ensemble et me suis formée à la méthode Mézières.
En 1984, je découvre la gymnastique holistique avec
Marie-Jo Guichard à qui la fondatrice, le Docteur Lily Ehrenfried,
a confié le soin de continuer à transmettre son travail.
Je m’engage très rapidement dans une formation avec
Marie-Jo, et dès 1986, je donne mes premiers cours.
Depuis lors, je n’ai jamais cessé de pratiquer et enseigner
ce travail en groupe, en individuel sous forme de stages courts
et de stages résidentiels.
En 2015, je fais partie du collectif de praticiens en gymnastique
holistique à l’origine de la fondation de AFGH
(association française de gymnastique holistique)
https://gymnastiqueholistique.fr
En 2017, j’interviens pour l’AFGH en tant que formatrice
sur la question de l’apport de la gymnastique holistique
dans la problématique de douleur chronique.
Depuis 2020, j’interviens pour l’AFGH en tant que formatrice
de praticien en gymnastique holistique avec trois autres
formatrices avec qui nous travaillons en collégialité.
• L’éducation peut être définie
comme un double mouvement
qui porte à la fois vers l’extérieur
et à l’intérieur de soi.
(Raphaël Arteau,
La perte et l’héritage, Boréal,
Montréal, 2018, p. 62)
« Le but de mon travail n’est pas d’enseigner
des mouvements, mais que mes élèves
deviennent conscients.
Je parle de cette conscience qui est au centre,
qui réagit à l’environnement, qui est capable
de penser et de sentir »
Elsa Gindler
« La gymnastique à elle seule
ne fait rien, c’est l‘état d’esprit dans
lequel on la pratique qui importe. »
Elsa Gindler